samedi 20 décembre 2008

Journée pluvieuse

Voici notre rue au retour du musée.

4 commentaires:

Manuela a dit…

Une chose m'interpelle dans toutes les photos.
Que Paris soit grise, non, ça, c'est plutôt normal. Par contre que Paris soit vide, ça, c'est plus étrange.
Où sont les Parisiens?...

Je sais que François devient un photographe/réalisateur de renommée mondiale, qu'il peut chorégraphier une scène bollywoodienne devant un palace indien sans qu'un touriste ne traverse le décor, mais là, quand même, je m'interroge...
Est-ce René, accoutré en prévôt des marchands, qui se met au milieu de la rue ou devant les oeuvres d'art des musées, pendant que vous faites croire à un remake de Rabbi Jacob pour empêcher toute "figuration" inopinée?
Vous allez me dire que les Parisiens ne visitent pas Paris, ou qu'ils travaillent, ou qu'ils ont l'humeur tellement grise qu'ils se fondent dans le décor, mais tout de même, je trouve ça très étonnant.
À moins que vous ne les ayez incités à faire leurs bagages vers Montréal pour qu'ils se rafraîchissent les idées (-25C, ça vous cryogénise un neurone...) et découvrent les joies d'avoir un tapis de neige (tapis, que dis-je, montagne) sous leur sapin?
Sérieusement, c'est quoi l'astuce?

Prochaine énigme: deviner où sont passés les Parisiens.
:-)

Anne Tremblay a dit…

Ça m'a frappée aussi de voir si peu de monde à Paris.
Un véritable mystère...

Anonyme a dit…

Paris l'hiver n'a pas changé, les couleurs sont éteintes, y compris les vêtements, en général sombres, les façades aussi, uniformément de la même teinte. Les passants sont rares et pressés, surtout dans un quartier comme le Marais, en définitive en retrait des centres animés, je n'ose écrire des centres villes puisqu'il y en a autant que d'arrondissements. Sans doute que le même jour, il y avait foule dans le quartier des grands magasins, pour le magasinage des Fêtes, comme nous l'avons vu sur les photos des reportages à propos des bombes au Printemps.
Et il y aura encore moins le gens dans les rues le jour de Noël. Tout le monde sera à la maison pour cette fête très familiale.
Jean-Claude.

Anne Tremblay a dit…

Jean-Claude, la grisaille est permanente à ce temps-ci de l'année, mais la nuit, Paris devient lumineuse. J'avoue apprécier la tranquillité dans les rues actuellement.