dimanche 15 février 2009

Peggy Guggenheim Collection

Lorsque j'ai demandé à notre ami Vincent, un habitué de Venise, de nous donner les incontournables de cette ville, il nous suggéra à part nous perdre, le Palais Grassi, le Palais Venier dei Leoni et évidemment la basilique Saint-Marc.
C'est au palais Venier dei Leoni que Peggy Guggenheim vécut avec ses chiens et installa sa propre collection d'art moderne. Vincent avait raison, cette visite valait le détour.

Alberto Giacometti, Woman Walking, 1936
C'est la seule photo que François a pu prendre à l'intérieur avant de se faire avertir.


Détails de la porte donnant accès au jardin à partir de la ruelle.


L'agréable jardin où sont installées en permanence plusieurs sculptures.


Germaine Richier, Tauromachy 1953.

Mirko, Roaring Lion II 1956.

Une installation de miroirs avec lesquels nous nous sommes amusés.


Peggy adorait ses chiens, ses compagnons de vie, aussi, à leur décès, les a-t-elle enterrés au jardin où une plaque de marbre nous rappelle l'importance qu'ils ont dû avoir pour elle. Elle-même repose juste à côté...




4 commentaires:

Lyne a dit…

Dans le jeu des miroirs, on dirait Rielle Lévesque.

Manuela a dit…
Ce commentaire a été supprimé par l'auteur.
Manuela a dit…

Si l'on en croit les dires de Wikipedia, la madame avait un physique disgracieux. Je les trouve bien difficiles:

http://www.bbc.co.uk/bbcfour/documentaries/images/peggyg1_lead.jpg
http://museum.icp.org/museum/collections/special/chim/pics/b-117.jpg

Par contre, le choix de ses lunettes est pour le moins particulier. Disons qu'elles ne siéent pas à tous les visages.
Je suppose qu'elles figuraient aussi dans une collection d'art moderne.
Et d'après le 2e lien web, elle semblait collectionner la même race de chien.
Ce que je trouve d'un goût contestable. Mais bon, sachant mon amour pour les canins en général, que ce soit une race truc ou machin, ça n'efface pas la vision d'horreur de cette dame enterrée avec une colonie de gremlins, 14 boules de poils pour être exacte... À moins que par "Here lie my beloved babies", il faille comprendre "here lie my beloved glasses". Ses lunettes sont suffisamment excentriques pour mériter un prénom. À votre avis, laquelle des 2 paires (sur les liens ci-dessus) s'appelle "Madam Butterfly" ? :p

Anne Tremblay a dit…

Manuela, ça tient au chaud 14 boules de poil!
Elle était drôlement excentrique la madame, n'est-ce pas ?
Pour les lunettes "Madam Butterfly", je dirais la première paire.