mardi 24 février 2009

Marcher pour voir


Un des charmes de cette ville si singulière est qu'elle se laisse découvrir tout doucement en marchant dans ses nombreuses et minuscules ruelles (calle en italien) où il est si facile et agréable de se perdre.



Ces calle aboutissent généralement sur de jolies places où l'on retrouve parfois un arbre, une fontaine, voire un banc pour se reposer.




Des ponts enjambent les canaux, aussi il devient possible de faire le tour de Venise en se baladant tranquillement. François dit que cette ville, tel un vestige d'un autre siècle, est demeurée à une échelle humaine car aucune voiture ne peut y circuler. Elle n'a tout simplement pas été pensée pour cela et c'est bien tant mieux.


On m'avait dit que lorsqu'on a vu Venise une fois, on ne peut que vouloir y retourner. Et c'est tellement vrai.

2 commentaires:

Anonyme a dit…

C'est tellement vrai. Je reviens tout juste de ce paradis du marcheur et devinez, de retour dans ma vie, à quoi je ne cesse de penser?

Bravo pour ce blogue.

Pascale

Anne Tremblay a dit…

Merci Pascale pour votre sympathique commentaire. Venise une fois fréquentée, ne nous lâche plus, c'est certain.
Serez-vous des nôtres mercredi prochain ? Ça nous ferait plaisir de vous rencontrer.